1.2 Mes motivations

A 20 ans, étudiant en faculté des sciences naturelles de l’université de Lausanne, alors que presque tous les étudiants engagés militaient pour la gauche, avec quelques amis nous étions plus attirés par

l’anarchie = une société sans hiérarchie.

Un système politique parfait, démocratique, garantissant l’égalité entre ses membres, très bien structuré pour que ses citoyens(nes) puissent vivre, apprendre et travailler sans dirigeants.

Pour la majorité des gens, une société sans dirigeant et sans encadrement finirait dans le désordre et la violence. En plus, par le passé, quelques excités se sont permis d’employer la violence et le terrorisme au nom de l’anarchie, sans justification idéologique admissible.

J’ai donc abandonné toutes relations avec l’anarchie jusqu’à aujourd’hui.

A 71 ans, je trouve qu’actuellement l’anarchie ou Anarchise, avec le développement extraordinaire de l’informatique, devrait être la dernière voie politique intéressante à explorer.

Le grand-père que je suis, n’a finalement croisé au cours de sa vie passée que des bonnes personnes, cherchant l’amour, la paix, la prospérité et du plaisir dans la vie.

Dans les sociétés du passé et actuelles, la plupart des gens sont le plus souvent empêchés d’obtenir cela, à cause de la complexité des institutions et de l’inégalité des traitements. Ce qui profite à une minorité de plus malins, plus agressifs et plus avides qui finissent par exploiter la majorité. On peut comprendre que certains, jaloux ou aigris par ces disparités, se révoltent ou décident de se procurer ce qu’ils n’ont pas par le vol ou/et la violence.