1.12 Plan d’action de L’Aiden pour construire Utopia

Il faut rapidement 1 million de personnes prêtes à adopter l’Aiden et à émigrer pour construire Utopia.

Et puis, no problemo !:

Avec la volonté de ce million de personnes, on va trouver facilement les 50 à 100 milliards de $ nécessaires pour construire avec les premiers migrants la première Cellule d‘Utopia qui sera conçue pour :

1 million d’habitants.

Bien sûr, au début se sera brut de décoffrage, puis petit à petit des aménagements s’ajouteront pour qu’Utopia soit belle et conviviale.

« Je rêve ? » : C’est peut-être ce que tu penses ?

« Moi, je ne le pense pas chers futures compagnes et futurs compagnons ! ».

Pour les 2 raisons suivantes :

  1. L’Aiden et Utopia sont conçus pour qu’au total des dizaines de millions de personnes dans la précarité puissent y émigrer et y trouver du travail intéressant et bien payé dans l’ordre et la dignité.
  2. Utopia est conçue pour que ses habitants puissent résister à des catastrophes qui ailleurs ne laisseront aucune chance de survie.

En 2016, quand j’ai commencé à écrire l’Aiden, il y avait seulement 82 personnes qui possédaient la moitié de la fortune mondiale, c’est à dire une fortune colossale  ? ».

« Sans oublier que 1% de la population mondiale possédaient presque tout le reste !».

Ce qui va intéresser ces personnes dans Utopia :

  1. c’est la sécurité presque absolue dans un environnement super sympa avec des lois peu contraignantes et plein de gens autour d’eux qui vont les considérer simplement comme leurs compagnes et leurs compagnons de vie. Ils vont apprécier le service civile, et ainsi se sentir utile en appartenant à une équipe. Ils vont apprécier de vivre dans un pays où il n’y a pas de pauvres, pas de vols et pas de violence contre les personnes qui ne désirent pas subir de violence. Ceux qui aiment la violence (il ne faut pas les oublier) auront leurs terrains de jeux qui seront à éviter si l’on n’aime pas assister à la violence.
  2. c’est le système d’imposition d’Utopia qui n’impose pas le produit du travail, ni la fortune.

il n’y a que le bénéfice réalisé dans Utopia et exporté qui est imposé à hauteur de 1%.

Ils regarderont les autres propositions de sécurité comme nettement moins intéressantes :

sociétés offshore, comptes à numéros, coffres super-forts enterrés, résidences délocalisées, bunkers sophistiqués, voitures blindées, services de sécurité (tu crois que des gens payés vont risquer leurs vies pour sauver celles de leurs patrons ou la leur et celles de leurs familles, s’ils doivent choisir?).

Finalement quel serait l’avenir d’un petit nombre de personnes qui survivraient dans un environnement dévasté?

Alors dans Utopia et son million de compagnes et compagnons (par cellule), même en cas de catastrophe la vie continuera normalement avec tout ce qu’il faut : du travail, des loisirs et des plaisirs et surtout un avenir.

Tu verras que le caractère philanthropique de l’Aiden et d’Utopia ainsi que les prestations offertes vont attirer les personnes riches et très riches. Certaines (beaucoup) de ces personnes vont œuvrer pour Utopia et certainement même passer les examens pour devenir nos compagnes et nos compagnons. Ils sont les bien venus.

Les mêmes raisons vont pousser des entreprises internationales (elles seront choisie pour leurs bonnes réputations)à investir dans Utopia pour y installer leurs directions centrales.

En plus Utopia sera un pays où les investissements privés sont prévus, dans les transports, l’énergie, les communications, les industries de hautes technologies, l’hostellerie, la restauration, etc…

Les gouvernements des pays qui reçoivent des afflux massifs de migrants vont aussi œuvrer pour qu’Utopia existe et ainsi qu’une bonne partie des futurs migrants qu’ils ne pourront absorber soient les bien-venus quelque-part sur cette terre.

La suite coule de source : avec l’expérience des constructeurs de la première cellule et les infrastructures à disposition, la deuxième cellule d’Utopia sera construite en « 2 temps et 3 mouvements », ainsi de suite sans vraiment de limite.