Cette ébauche n’est pas complète, il y a encore beaucoup de situation qui ne sont pas légiférées.
Il me semble que les sujets qui ne sont pas abordés sous forme de lois (comme les injures échangées occasionnellement) ne sont pas d’une importance capitale pour la conduite de l’État. De les légiférer, cela alourdirait la constitution, compliquerait la gestion de l’État et la compréhension de cette gestion par sa population.
L’administration de l’Aiden et d’Utopia se divisent en 3 niveaux :
- Les lois, les devoirs, les droits, les commissions, le service civil ou militaire, les pièces d’identité électroniques, les bureaux, les caméras, les gouvernements, les valeurs phares, les buts et les idéaux de l’Aiden doivent être connus presque par cœur par toutes les compagnes et tous les compagnons de l’Aiden et en partie par les étrangers(pas forcement dans l’ordre, ni avec la même tournure linguistique). Ces notions doivent être imprimées et être facilement consultables au domicile des personnes et dans les logements des étrangers.En cas de corrections, il ne faudrait pas alourdir ce niveau, il faut juste les adapter à l’évolution de la société et de la pensée.
- Les clauses, les règlements, les conventions de diligence, les voies choisies, les organisations des départements de l’administration, en fait tout le reste de la constitution doit pouvoir être consulté facilement avec les bureaux Aiden. Cette partie de la constitution peut évoluer en fonction des besoins.
- Ce qui n’est pas défini, « comme par exemple : quelles sanctions appliquer pour les infractions » (la loi donne seulement la durée des sanctions), ne devraient pas être décrits,pour permettre le dialogue et d’adapter pour chaque cas les sanctions à décider. Il ne devrait pas y avoir de jurisprudences pour tous les cas qui concernent uniquement Utopia.Les lois, si elles deviennent trop nombreuses ou trop compliquées sont liberticides. « si l’on veut entreprendre quelque chose d’assez conséquent, il ne faudrait pas quel’on doive se faire accompagner par un avocat et un psychiatre . Des professions qui tendront à disparaître dans Utopia, enfin je l’espère !».Enfin, tout ce qui n’est pas décrit est toléré. Peut-être que j’ai oublié de citer des points importants : à voir lors de la correction de cette ébauche, qui sera entreprise démocratiquement lorsque l’Aiden comptera 10’000 adhérents.