La mort est un événement normal qui n’arrive qu’une fois dans la vie.
En général : la mort intervient quand on a plus assez envie de vivre, ou quand on a trop envie de se sentir vivre.
La fête devrait être incluse dans la cérémonie des adieux, car pour beaucoup de gens, la mort c’est une délivrance.
Les enfants prématurés ayant plus de 8 mois (jusqu’à 8 mois, ils sont considérés comme non viables) devront être portés (dans une couveuse) la plupart du temps sur le ventre par leur mère et /ou leur père. La mère peut demander d’avorter gratuitement jusqu’à 8 mois pour le mieux de l’enfant en raison de découvertes tardives de maladies génétiques handicapantes ou de malformations, qui lui ôteraient toutes chances de bien-être. Le père ou son remplaçant et la mère peuvent demander pour le reste de la grossesse une intervention gratuite pour les raisons citées à la ligne précédente et pour sauver la vie de la mère.
Dans tous les cas : la vie de la mère prime sur la vie de l’enfant, même si elle ne le veut pas, car l’enfant a besoin de sa mère.
La vie d’une personne dans Utopia n’est pas à préserver à tous prix ! Utopia est faite pour des gens qui ont envie d’être heureux ! Comment peut on être heureux, quand on est trop handicapé ou trop déformé ?
Les hôpitaux de l’État ne pratiquent pas l’acharnement thérapeutique .
Pour décider dans l’urgence des soins à donner, lorsqu’un(e) blessé(e) est gravement atteint(e):
les chances de survie devront être associées avec les pronostics sur l’état général physique et mental, avec lequel le (la) patient(e) devra compter pour continuer sa route. Si les pronostics sont trop défavorables, l’équipe médicale devra prendre la décision de ne pas intervenir ou d’abréger les souffrances de la victime par votation (1 vote par personne):avec un résultat pour agir de minimum 3 personnes sur 3, 4 personnes sur 5, 5 personnes sur 6, 5 personnes sur 7, 6 personnes sur 8, 7 personnes sur 9, etc..
Les proches de la patiente ou du patient qui sont présents doivent participer au vote.
Toutes les personnes peuvent donner leurs instructions (à l’avance, si au cas où peu probable que.. ?) par l’intermédiaire d’une fonction de la pièce d’identité électronique pour aider le corps médical et leurs proches dans ces décisions difficiles.
Personne ne peut reprocher ou attaquer en justice dans ce cas, le vote d’une personne, ainsi que les décisions du corps médical.
Les hôpitaux privés ne sont pas obligés d’adopter la même politique, si le (la) patient(e) et ses assurances peuvent payer les frais induits par une autre approche des soins.
Les compagnes et compagnons adultes ont le droit de se suicider.
Pour ceci, ils (elles) peuvent demander de l’aide dans les dispensaires. Les personnes responsables de cette activité leur proposeront d’attendre 3 mois pour mettre à exécution leurs projets, pendant lesquels elles leur proposeront une fois par semaine un entretien avec un(une) spécialiste qui tentera de l’en dissuader. Puis la personne, si elle est toujours décidée, pourra mettre à exécution son projet dans une salle adaptée, entourée par ses proches ou par un comité de la commission du bien-être.