Interdits aux enfants, avec service minimum du jeudi 12h au vendredi 12heures, qui comportent :
- Un espace dédié aux jeunes qui veulent faire la fête comprenant un grand camping, des bars à musique, des discothèques intérieures et extérieures, des équipements sportifs, des terrains de jeux sur la plage avec des toboggans et des radeaux-bars. Les entrées sont filtrées pour qu’il y ait autant de jeunes femmes que de jeunes hommes dans cet espace (les âges des personnes ne sont pas pris en compte).
- « Un quartier chaud » avec des établissements pour femmes, pour hommes et mixtes. Ce quartier est dédié aux jeux et aux plaisirs de la nuit avec des commerces des casinos, des théâtres, des cinémas, des établissements spécialisés, des salons avec des prostitués(es), des salons de massages, etc..
- un espace dédié au naturisme libertin, nudité ou tenues libertines obligatoires pour tous (aussi pour les collaborateurs(rices) y travaillant, sauf en cuisine et pour les habits qui protègent la personne qui travaille ou qui sont nécessaires pour l’hygiène dans le service à la clientèle) comprenant des logements, des hôtels, un camping, des commerces, des restaurants, des cafés, des bars avec musique, des dancings et des clubs à l’intérieur et sur la plage réservée à ces activités. Les entrées sont filtrées électroniquement pour qu’il y ait autant de femmes que d’hommes à l’intérieur de cet espace.
- un espace spécial avec entrées payantes, où la violence canalisée et maîtrisée est tolérée avec :
- des rues, des meubles urbains et des parois capitonnés de caoutchouc, comme précautions pour diminuer les conséquences des chutes lors d’altercations.
- des salles avec rings pour organiser des combats sportifs dans toutes les disciplines.
- des bars capitonnés disposant de rings et d’arbitres, pour permettre aux clients et aux clientes de participer à des combats improvisés.
- En payant l’entrée les visiteurs acceptent d’adopter les 7 règles d’or dévolues à cet espace.Cet espace est doté d’un réseau dense de caméras, qui contrôlent les espaces publics et les établissements privés.Les observateurs et les négociateurs (choisis parmi d’anciens adeptes des sports de combat) de cette espace seront particulièrement attentifs et réagiront rapidement aux moindres débordements. Ils peuvent intervenir par hauts-parleurs pour essayer de calmer les belligérants, appeler l’équipe de gardiens de la paix privés ou faire appel à un détachement de l’armée. En dernier ressort (avec des installations prévues pour) ils peuvent gazer les participants(es) incontrôlables avec des produits incapacitants ou calmants qui ne sont pas dangereux pour la santé.Ces bagarres (« free ou street fight », combats de bistrots et de rues) sont contrôlées normalement par les patrouilles de gardiens de la paix privés et par le personnel des établissements privés.Les 7 règles d’or régissant les activités violentes confinées uniquement dans cet espace spécialisés :
- Toutes les armes sont interdites, de même que les bagues ou tous les autres accessoires vestimentaires (en particulier les chaussures) qui peuvent blesser ou être employés comme une arme.
- Les personnes qui portent des brassards blancs sont seulement des spectateurs. Ils ne doivent pas être importuner. Ils peuvent fonctionner comme un ou une arbitre.
- Il faut 4 arbitres pour 2 personnes qui se battent : 2 hommes pour un combattant ou 2 femmes pour une combattante.
- Il est interdit de continuer à frapper un(e) combattant(e) KO.
- Le mot « stop » prononcé par l’un ou l’une des protagonistes obligent tous les autres participants à arrêter immédiatement les hostilités.
- Si l’un des protagoniste frappe plusieurs fois du plat de la main sur le sol ou sur un son adversaire; cela indique que le combat doit cesser car cette personne est en difficulté.
- Les personnes présentes doivent porter secours (selon la loi) aux personnes qui sont en danger ou qui peuvent se trouver en danger, parce qu’elles évaluent mal la puissance de l’adversaire ou des adversaires. Dans ce cas ils doivent empêcher ou arrêter le combat.