12.6 Le Pardon

Tous les mauvais rapports entre les personnes ne sont pas légiférés.

Par exemple : les échanges entre 2 personnes en colère peuvent être virulents, des insultes peuvent être échangées. Si ces altercations ne se produisent pas régulièrement, elles ne seront pas prises en compte pour des médiations ou des poursuites judiciaires. Dans ces cas, les protagonistes devraient, une fois la colère passée, chercher à s’accorder mutuellement leurs pardons.

Les commissions du bien-être proposeront le pardon pour régler les conflits entre les personnes.

Les commissions de justice tiendront compte, des aveux, des regrets, des propositions de réparations, des excuses du (de la) coupable et du pardon de la victime, pour limiter les restrictions de liberté qu’elles doivent imposer comme sanctions aux actes délictueux graves.

Pour les cas qui ne sont pas graves, toutes les compagnes et les compagnons devraient bénéficier au moins une fois du pardon des autres et de l’État, parce personne n’est parfait.