& 20 Compléments sur les droits et les devoirs

Compléments explicatifs sur les droits et les devoirs

  1. Les compagnes et les compagnons ont une absolue liberté de pensée et d’expression.

Ils ont aussi le droit de publier leurs opinions et même de les éditer en fascicules, livres ou site Internet, pour en faire le commerce, s’ils ne contiennent pas d’actes réels qui ne sont pas autorisés par les lois de l’Aiden.

Car on ne peut pas considérer, des paroles, des écrits décrivant des scènes ou des actes, des dessins, des peintures ou des films d’animation, comme des faits qui pourraient être condamnables. Puisque ces paroles, ces écrits, ces dessins, ces peintures ou ces films d’animations, ne sont que des actes virtuels.

Même si ces paroles ou ses écrits sont contraires à l’Aiden.

En revanche on ne peut pas se servir de ses opinions médiatisées, qui décriraient des actes contraires aux lois de l’Aiden ou à sa neutralité absolue, pour trouver d’autres personnes et créer des groupes de pression, pour mettre en œuvre ces actes. Que ce soit contre des compagnes et des compagnons, contre l’Aiden et Utopia, contre des personnes étrangères, des dirigeants étrangers, des groupes et des pays étrangers ou pour inviter d’autres personnes à commettre ces actes !  Car ce sont des faits bien réels !

On ne peut non plus pas associer l’Aiden ou Utopia à ses idées, si elles sont contraires aux lois et à la neutralité de l’Aiden et d’Utopia.

Toutes les compagnes et les compagnons de l’Aiden sont à cause du système anarchisant des dirigeantes et des dirigeants d’Utopia.

De ce fait, l’Aiden demande à ces compagnes et ses compagnons d’être prudent dans la médiatisation de leurs opinions politiques quand elles concernent des personnes, des groupes et des pays étrangers dans Utopia et surtout à l’étranger, pour respecter la neutralité d’Utopia et pour garantir leurs propres sécurités.

Tous les compagnes et les compagnons sont de fait les détenteurs des secrets militaires d’Utopia car, ils les ont votés.

De ce fait, elles, ils devront être prudent dans le choix de leurs voyages à l’étranger (et dans le choix des escales pour y aller), pour ne pas être importuner dans les pays, qui n’apprécieront pas Utopia, et qui pourraient avoir des intentions belliqueuses contre Utopia. Même si, les compagnes et les compagnons d’Utopia, (à part les militaires qui sont chargés de l’armement d’Utopia) n’ont pas la connaissance complète et exploitable des systèmes de défense choisis.

L’Aiden fait confiance à ses compagnons et à ses compagnes.

L’Aiden préservera de toutes les manières possibles : la liberté de penser et la liberté de diffuser sa pensée dans Utopia.  

 

Dans Utopia, il n’y a pas de prison et de police !  Mais il y a quand même pour y maintenir l’ordre et la paix : des gardiennes et des gardiens de la paix et l’armée.

  1. Que peuvent faire les gardiens (gardiennes) de la paix privé(e)s ?

Ils sont appelés par les observateurs et les négociateurs pour contraindre des personnes à quitter les zones qui leurs sont interdites ou pour éloigner ou calmer des personnes créant des troubles graves où elles se trouvent.

Ils seront appelés après les avertissements automatiques déclenchés par les caméras de contrôles et les essais de persuasions des négociateurs, si elles n’obtempèrent pas en ne quittant pas la zone d’où elles sont exclues par décisions judiciaires ou de la zone dont elles perturbent gravement la tranquillité.

Elles ou ils seront remplacés par l’armée dans le cas où la ou les personnes sont armées ou trop nombreuses.

Ils devront être 2 hommes, s’ils doivent intervenir avec un homme.

Elles devront être 2 femmes, si elles doivent intervenir avec une femme.

Elles ou ils devront encadrer la personne et l’accompagner jusqu’à qu’elle soit dans une zone qui ne lui est pas interdite.

Ils ou elles devront l’accompagner jusqu’à son domicile, si cette personne est trop agitée, pour être laissée sur la voie publique.

Ils ou elles peuvent l’accompagner éventuellement dans un dispensaire pour être soutenue et soignée, si son état psychologique inquiète les gardiens (gardiennes) de la paix. Mais cette personne ne pourra être retenue contre son gré dans le dispensaire, une fois qu’elle aura été calmée avec des médicaments.

Elles ou ils peuvent l’obliger à rester chez elle au maximum 24 heures, pour que cette personne retrouve ses esprits et un comportement conscient.

 

Les gardiennes et les gardiens de la paix peuvent être amenés à sécuriser chez elles ou dans leurs commerces des compagnes ou des compagnons exerçant des métiers à risques (comme bijoutiers, bureau de change, prostituée, etc..) ou toutes autres personnes se sentant ou étant seule, en danger, ou pour des raisons d’âges avancés ou médicales.

Les personnes qui demandent à être sécurisée doivent conclure un accord avec le poste des observateurs et des négociateurs les desservants.  Pour qu’Utopia puissent installer une ou des alarmes (automatiques ou non, avec caméras ou sans, selon les désirs de la personne mandante) et les relier au poste des observateurs et négociateurs. Pour que ceux-ci puissent appeler les secours ou les gardiens et gardiennes de la paix, pour qu’elles ou ils interviennent chez eux en cas de problèmes.

Toutes les personnes habitant Utopia, peuvent demander à pouvoir être sécurisé par Utopia.

Comme toutes ces interventions sont filmées, étudiées par les observateurs et conseillées par les négociateurs, il ne sera pas difficile de se rendre compte, si les gardiennes ou les gardiens de la paix ont employé des moyens disproportionnés, qui ont entraîné des blessures ou plus pour les personnes contre lesquelles ils interviennent. Ou que les personnes contre lesquelles les gardiens et les gardiennes sont intervenus ont commis des actes répréhensibles.

Les gardiens et les gardiennes de la paix ne peuvent pas en être jugés pour responsables, si l’intervention a été correcte et qu’elle a entraîné des lésions physiques ou psychiques ou des pertes de revenus pour les personnes concernées.

Les gardiennes et les gardiens de la paix privés doivent appartenir à l’armée, la seule structure hiérarchisée d’Utopia. Elles ou ils n’auront donc aucune peine à suivre les conseils des négociateurs lors de leurs interventions.

En plus, les gardiennes et les gardiens de la paix doivent suivre une formation spéciale pour être accréditer comme tels. Elles ou ils peuvent disposer d’armes non-léthales.

Elles ou ils sont payés directement par les personnes contre ou pour lesquelles ils (elles) sont intervenus(es). Dans le cas, où la personne ne peut pas payer cette intervention, c’est Utopia qui la payera.

Elles ou Ils sont aussi habilité(e)s à exercer la profession d’agents de sécurité, pour sécuriser, des entreprises, des manifestations, des établissements publics. Ce sont les demandeurs qui payent ces prestations. Si les demandeurs ne peuvent pas payer ces prestations justifiées par les commissions du bien-être, c’est Utopia qui les prendra en charge.

 

Que peut faire l’armée ?

L’armée ne peut pas faire plus que les gardiens de la paix, mais les soldats interviennent armés. Uniquement contre des personnes armées, ou des personnes trop nombreuses et en colère !

Il peut arriver, qu’il y est des erreurs commises par les intervenants, ayant de graves conséquences pour les personnes contre lesquelles ils interviennent.

Dans ce cas, les intervenants fautifs seront exclus de l’armée et devrons bénéficier du pardon en conclusion de leurs jugements, s’ils sont reconnus comme coupables ! À moins qu’il soit prouvé ou sûr, que ces actes étaient prémédités.

Les interventions de l’armée ne sont pas facturées.

 

Les compagnes et les compagnons reçoivent en cas de difficultés des aides d’Utopia.

Ces difficultés seraient de 2 sortes :

  1. Difficulté de pouvoir gagner sa vie

Pour des raisons de santé ou parce que

La production des biens de consommation est de plus en plus automatisée et demande de la main d’œuvre très spécialisée et peu nombreuse.

Certaines personnes ne seront plus aptes à exercer une activité lucrative et en plus ils n’en trouveront pas, parce que dans les sociétés modernes on a plus besoin d’eux.

Il est prévu que ces personnes reçoivent tout ce qui leur est nécessaire pour vivre : nourriture, biens de nécessité, soins et logement.

Mais en plus, ce qui est garanti par la constitution, ils devront pouvoir avoir des loisirs et s’offrir des plaisirs.

Pour qu’ils puissent jouir de ces prestations, l’Aiden à prévu :

Les commissions permanentes des honorables consommateurs

Le rôle des membres de ces commissions sera d’aider par leurs consommations, les commerces ayant des difficultés à équilibrer leurs comptes.

Les membres de ces commissions recevront des bons de consommation qui seront libellés avec les noms des commerces où ils sont valables. Ils pourront les employer uniquement dans les commerces indiqués. Ils pourront les échanger entre eux pour qu’ils correspondent mieux à leurs goûts.

Ces commissions devront mettre sur pieds, des stratégies pour que leurs actions soient le plus efficaces possibles. Par exemple d’aller en groupe pour remplir un commerce, ce qui peut attirer d’autres personnes et doper le moral des commerçants en difficulté.

Ces commissions d’honorables consommateurs doivent rapporter sur

leurs actions aux commissions du bien-être.

 

  1. Difficultés de rentabiliser son atelier ou son commerce.

Ces commerçants peuvent faire appel à leurs pairs au travers de leurs

Corporations pour être conseillés et soutenus.

Pour obtenir de l’aide d’Utopia : toutes les demandes concernant ces difficultés devront être examinées par une commission du bien-être.

La première mesure que les commissions du bien-être peuvent prendre pour sauver ces commerces, c’est de diminuer ou supprimer leurs loyers qu’ils paient à Utopia pendant un certain temps.

Ils peuvent en plus faire appel aux commissions des honorables consommateurs.

Toutes ces mesures étatisées ne devraient pas durer plus d’une année.

 

 

 

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